Code de déontologie

 

En tant que coach diplômée par l’Institut Coaching d’Alsace (ICA), un organisme agréé par l’EMCC (European Mentoring & Coaching Council), je respecte un code de déontologie, dont voici les grandes lignes.

Vision du coaching

Le coach s’engage à apporter un soutien inconditionnel à son client, à l’aider à optimiser ses capacités et ses ressources, dans le respect de sa demande. Il l’aide à se fixer des objectifs motivants et à donner le meilleur de lui-même. Il l’accompagne dans la mise en œuvre des moyens les plus efficaces pour lui permettre d’atteindre ses objectifs.

Formation professionnelle

La compétence professionnelle du coach est assurée par sa formation dans le domaine du coaching. Ses compétences à exercer professionnellement ont été validées par l’organisme ou le formateur qui a dispensé cette formation.

Mise à jour de ses connaissances

Le coaching est une profession qui demande une réactualisation régulière des connaissances. Le coach se tient au courant des développements de la discipline.

Expérience personnelle du coaching

Le coach a lui-même été coaché et continue de faire appel aux services de confrères pour être supervisé dans sa pratique. Il est engagé dans un cheminement continu d’évolution personnelle.

Contrat & Engagements

Dès le début d’une relation de coaching, le coach convient, par écrit, d’un contrat clair avec son client. Les conditions de cet accord incluent la nature du service proposé, les limites et les responsabilités de chacun. Le contrat précise aussi la fréquence et la durée des entretiens, la façon dont ils se déroulent (en visioconférence ou par téléphone ou autres) ainsi que le montant des honoraires perçus par le coach pour sa mission. Le coach garantit le respect des engagements pris contractuellement et se tient à la règle de confidentialité. La présente charte figure en annexe du contrat de coaching.

Le coach s’assure que son intervention sert l’intérêt de son client et veille à agir avec un haut niveau d’intégrité pendant toute la durée de la relation de coaching. S’il ne possède pas la compétence pour intervenir dans le domaine pour lequel on le consulte, il oriente son client vers une autre personne-ressource. En aucune circonstance, il ne met à profit la situation de coaching pour en tirer des avantages non-contractuels, que ceux-ci soient d’ordre financier, social, affectif et autres.

Si, au cours de la relation de coaching, le coach constate que d’importantes divergences ne lui permettent plus de fonctionner selon les termes du contrat, il est dans l’obligation éthique d’y mettre fin en expliquant clairement les raisons de sa décision. Dans la mesure du possible, il veillera à proposer d’autres options à son client.

À l’égard de la profession, le coach se tient à un devoir de réserve dans ses propos et dans ses actes. Il fait preuve de respect à l’égard de la diversité des courants existants dans le domaine du coaching, mais refuse qu’une personne ou un groupe puisse se prévaloir de détenir la vérité en la matière. Le coach contribue à l’image positive de la profession par son comportement, sa compétence et par la vision positive du monde dont il est porteur.

Pour consulter le code de déontologie global, suivre ce lien : https://www.emccfrance.org/deontologie-coach-mentors/

error: